Victime d’hameçonnage, un client n’est pas dédommagé par sa banque
La Cour de cassation estime que le client d’une banque a fait preuve d’une négligence grave pour avoir communiqué ses coordonnées bancaires en réponse à un courriel trompeur. Il ne sera pas remboursé des dépenses frauduleuses. C’est la deuxième décision de justice défavorable aux victimes de phishing, rendue en 6 mois.