Economie

Dans les fabriques du pouvoir de l’Amérique, au sein des très fermés « Final Clubs » d’Harvard

Un diplôme de Harvard, la meilleure université du monde, ne suffit pas à faire partie de l’élite de l’élite. Pour y accéder, il faut encore être coopté par les  » Final Clubs  » du campus, des cénacles exclusivement réservés aux hommes qui entretiennent l’entre-soi – non sans sexisme. La direction veut en finir avec ces usines de reproduction sociale. Un combat difficile.