Philippe Askenazy : « La taxe Gafam rapporterait au fisc autant que la prostitution »
Les prostituées et les géants du numérique ont en commun l’opacité de leurs données comptables. L’Etat parvient à estimer les revenus des premières afin de les taxer. Mais il sous-évalue ceux de Google et consorts, estime l’économiste dans une chronique au « Monde ».