« Il y a une fenêtre du tir pour une croissance nominale forte, capable d’éroder la dette »
Les banques centrales pourraient retrouver des marges de manœuvre sur les taux… à moins que le variant Omicron ne rebatte les cartes, estime, dans une chronique, Frédéric Leroux, membre du comité d’investissement stratégique de Carmignac.