Economie

« Ce n’est pas parce qu’une entreprise n’est pas une startup qu’elle ne fait pas de l’hyper-croissance » (Jonathan Laroussinie, Rise Partners)

Alors que la fin du quoi qu’il en coûte est là, que les taux espérés de croissance ne cessent de monter, que l’on répète à l’envi que l’argent est disponible, le regard se porte presque plus facilement post-crise sur ces petites et moyennes entreprises, dynamiques, solides, agiles qui elles aussi innovent, inventent, créent de nouveaux usages et qui méritent la même attention que les jeunes pousses tout juste écloses. Car dans la volonté de relance de la France, ce sont bien ces sociétés dites en hypercroissance qui sont capables de jouer l’effet d’entraînement, explique le dirigeant du cabinet spécialisé dans le conseil à l’innovation, basé à Sophia-Antipolis.