Pas de « quoi qu’il en coûte » pour les chômeurs et les précaires après la crise sanitaire
Le « quoi qu’il en coûte » a surtout profité aux entreprises. Précaires et chômeurs n’ont pas été assez soutenus. La réforme de l’assurance chômage et celle du revenu universel d’activité, en cours ou qui se profile, n’augurent rien de bon.