« Un meilleur accompagnement bancaire des personnes vulnérables éviterait à celles-ci de recourir à des prêts à taux élevés »
Les chercheuses en gestion Marie-Hélène Broihanne et Daria Plotkina analysent, dans une tribune au « Monde », le comportement des clients « passifs » des banques, ni surendettés ni pauvres, mais dont la vulnérabilité aux chocs économiques exige une attention particulière