Déserts médicaux : « Il faut augmenter d’au moins 30 % le nombre d’étudiants admis dans le cursus médical »
Prétendre que la suppression du numerus clausus va résorber la pénurie de médecins est au mieux de la pensée magique et au pire une diversion malhonnête, estime, dans une tribune au « Monde », Antoine Pelissolo, chef de service en psychiatrie et secrétaire national adjoint du Parti socialiste.