DIRECT. Pénurie de carburant : des lignes de transports scolaires pas assurées en Ile-de-France

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08h30 : .@GabrielAttal, ministre délégué aux Comptes publics : « C’était un week-end de galère pour des millions d’automobilistes : on fait tout pour que cette situation puisse se régler dans la semaine » #le7930inter https://t.co/jg76EEHyyj

08h30 : Sur France Inter, Gabriel Attal reconnaît que les Français ont vécu « un week-end de galère » en raison du manque d’approvisionnement des stations-service. Le ministre des Comptes publics assure que le gouvernement « fait tout pour que cette situation puisse se régler dans la semaine ».

08h22 : La grève dans les raffineries et dépôts de carburants de TotalEnergies, entamée il y a une dizaine de jours, se poursuit, a appris franceinfo de source syndicale. La direction de l’entreprise a de son côté accepté hier d’avancer à ce mois-ci ses négociations annuelles sur les salaires.

08h19 : La situation s’annonce encore compliquée dans les stations-service ces prochains jours. « Il n’y a pas eu de livraison ce week-end », remarque Francis Pousse, membre du syndicat Mobilians.

(JULIEN DE ROSA / AFP)

08h26 : « Il faut que la grève s’arrête, ou en tout cas s’allège, parce que ça pénalise les Français très lourdement dans leur vie quotidienne. »

Sur le plateau des « 4 Vérités » de France 2, le député de la majorité Marc Ferracci estime que les revendications salariales des employés d’Esso-ExxonMobil et TotalEnergies sont « légitimes ». Mais, ajoute-t-il, « il faut trouver des solutions rapidement ».

(FRANCE 2)

07h49 : Pourquoi pas merci Total et Exxon ? Les Français veulent plus de pouvoir d’achat mais ils attendent que cela arrive par l’opération du Saint-Esprit. Pendant ce temps, les actionnaires se gavent.

07h44 : Aujourd’hui je ne peux pas aller travailler. Je n’ai plus de gazole

07h44 : Pas de transport scolaire. Merci la CGT

07h43 : Dans les commentaires, le manque de carburant dans les stations-service vous fait beaucoup réagir.

07h42 : De nouveaux départements ont pris des mesures face aux difficultés d’approvisionnement en carburant. Désormais, les préfectures des Yvelines, de l’Eure-et-Loir, de la Seine-Saint-Denis restreignent les achats, interdisant notamment le remplissage de jerricans ou de bidons.

07h02 : Un petit tour du côté de vos kiosques à journaux. Sans surprise, les pénuries de carburant sont à la une de nombreux quotidiens.

06h16 : N’ayant pas été approvisionné en gasoil, nous vous confirmons que nous ne pouvons pas assurer ce lundi 10 octobre, une majorité de nos lignes. Les services assurés seront les circuits: 003, 004, 010, 040, 108 et les lignes desservant l’établissement St Spire en circuits spéciaux.

07h35 : Le manque de carburant perturbe les transports scolaires. Les Cars Bleus d’Ile-de-France ne peuvent « pas assurer ce lundi la majorité de [leurs] lignes » scolaires en Essonne et en Seine-et-Marne. L’Ile-de-France est l’une des régions les plus touchées par les difficultés d’approvisionnement : 44,9% des stations franciliennes étaient hier « en rupture d’au moins un produit », selon le ministère de la Transition énergétique.

07h36 : Alors que la tension sur l’approvisionnement des stations-service s’accroît, la direction du groupe Esso-ExxonMobil, touché par un mouvement de grève, réunit aujourd’hui les syndicats. De son côté, TotalEnergies a proposé d’avancer à ce mois-ci ses négociations annuelles sur les salaires.

07h39 : On commence avec les principaux titres de l’actualité :

L’approvisionnement en carburants reste perturbé par un conflit social. Près d’une station sur trois rencontraient des difficultés hier. La direction d’Esso-ExxonMobil réunit aujourd’hui les syndicats.

Les députés démarrent cet après-midi l’examen du projet de budget 2023. Faute de majorité absolue pour les macronistes, le gouvernement envisage le recours au 49.3 pour faire adopter son texte.

• Les tirs de missiles menés ces deux dernières semaines par la Corée du Nord étaient des exercices « nucléaires tactiques », assure Pyongyang. Selon le régime, il s’agit d’une réponse à la « menace militaire » posée par les Etats-Unis et leurs alliés.

Le président russe Vladimir Poutine a accusé les services secrets ukrainiens d’être à l’origine de la puissante explosion qui a endommagé la veille le pont de Crimée. Il a dénoncé un « acte terroriste » contre une infrastructure-clé.

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