Cinéma : l’hilarante comédie d’espionnage Le Parfum Vert débarque en salles

Tout commence par le meurtre d’un comédien sur scène, manigancé par une organisation secrète : le parfum vert. Sandrine Kiberlain et Vincent Lacoste sont ici embarqués dans une comédie d’espionnage, truffée de clins d’œil à la BD et aux films du genre. « Ce qui m’a donné envie de raconter cette histoire c’est mon amour des premiers albums de Tintin des années 30 et des films d’Hitchcock anglais qui est sans doute le premier réalisateur à avoir fait des films d’espionnage qui étaient aussi des comédies », retient Nicolas Pariser, réalisateur du Parfum Vert. 

La réunion de ces deux univers est un terrain de jeu idéal pour les deux acteurs, auxquels le metteur en scène a pensé très tôt. « On a un côté un peu maladroit, un peu lunaires malgré nous qui l’amusait et surtout qui l’amusait de mettre dans cet univers », explique Vincent Lacoste. Finalement, Claire et Martin, dont ils jouent les partitions, se retrouvent à devoir démêler le vrai du faux dans cette affaire. « Il y a eu une volonté de créer des personnages très vite attachants, anti-héros, qui se retrouvent héros malgré eux, parce que plongés dans une aventure qui les dépasse un peu », développe Sandrine Kiberlain. Pour jouer aux apprentis détectives, rendez-vous mercredi 21 décembre dans les salles obscures.