Cinéma

Ezra Miller risque 26 ans de prison dans une affaire de cambriolage

« Ezra Miller a plaidé non coupable ce matin et a accepté les conditions imposées par le tribunal… »

Regardera-t-il The Flash derrière des barreaux ? Alors que le grand film DC consacré au Speedster est attendu en juin 2023 dans les cinémas, Ezra Miller fait face à un avenir très incertain. 
 
Accusé de cambriolage devant un tribunal du Vermont, Ezra Miller a plaidé non coupable ce lundi matin. De fait, s’il est reconnu coupable et condamné, il risque jusqu’à 26 ans de prison !

Ezra Miller convaincu d’être le Messie : l’acteur de The Flash a sombré dans une inquiétante spirale

La presse américaine rapporte que la star de Justice League a comparu virtuellement devant la Cour supérieure de Bennington. On le soupçonne d’avoir pénétré par effraction dans une résidence de Stamford, dans le Vermont, le 1er mai dernier. La police de l’État avait découvert plusieurs bouteilles d’alcool manquantes dans la propriété alors que les propriétaires étaient absents. Après avoir recueilli des déclarations et examiné des images de vidéosurveillance, la police a arrêté Miller. Les objets volés avaient une valeur totale inférieure à 900 $ mais le simple cambriolage criminel signifie une peine de 25 ans de prison au maximum et une amende maximale de 1 000 $, auxquels s’ajoutent 1 an de prison pour vol et 1 000 $ d’amende.

Bien entendu, l’acteur ne va pas faire 26 ans de prison, mais il risque quand même de se retrouver dans une cellule, en cas d’un verdict du tribunal à son encontre. Car en plaidant non coupable, il s’expose à une peine lourde : « Ezra Miller a plaidé non coupable ce matin et a accepté les conditions imposées par le tribunal de ne pas contacter ou entrer dans le domicile des habitants. Ezra tient à remercier l’amour et le soutien qu’il a reçu de sa famille et de ses amis, qui continuent d’être une présence vitale dans sa santé mentale« , a déclaré son avocates.

On rappellera qu’en sus, l’acteur a été arrêté à Hawaï deux fois dans l’année, pour trouble à l’ordre public et harcèlement, puis pour agression au deuxième degré…


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