« Mario Draghi, le président de la Banque centrale européenne, est celui qui porterait le mieux la montre à moutarde »
La banque centrale adepte du « quantitative easing » peut être utile si l’on s’en sert ponctuellement pour sauver le monde, elle peut être nocive si l’on s’en sert durablement pour financer l’économie à un coût plus faible qu’il ne le mérite, explique l’économiste Karl Eychenne dans une tribune au « Monde ».