« Le gouvernement populiste italien rêve d’ouvrir grandes les portes à la Chine »
La coalition au pouvoir à Rome, incapable de boucler sérieusement son budget pour 2019, se tourne de plus en plus vers les investissements chinois. Au risque de se laisser prendre au piège de la dépendance, note l’éditorialiste économique du « Monde », Philippe Escande, dans sa chronique.