Economie

La directrice générale du FMI affaiblie après des révélations de pressions en faveur de la Chine

La patronne du FMI, Kristalina Georgieva, était sur la sellette vendredi, après la révélation, la veille, d’accusations de pressions exercées sur ses équipes, lorsqu’elle dirigeait la Banque mondiale, pour modifier un rapport en faveur de la Chine.
« Ni dans ce cas, ni avant, ni après, je n’ai fait pression sur les équipes pour qu’elles manipulent les données », a cependant assuré vendredi l’ancienne directrice générale de la Banque mondiale, aux administrateurs du FMI, a rapporté le New York Times.
« Je demande au personnel de vérifier, revérifier, vérifier trois fois, mais je n’ai jamais changé, manipulé, ce que nous disent les données », a-t-elle assuré, lors de cette réunion en format virtuel, qui était prévue avant que ne soit publiée l’enquête, et dont l’ordre du jour était l’examen de l’économie indienne.