« Si l’adieu africain se concrétise, que fera Bolloré des milliards récupérés qui viendront s’ajouter à ceux issus de la vente d’Universal Music Group ? »
Tenté de se séparer de son activité logistique en Afrique, l’homme d’affaires breton pourrait en profiter pour monter au capital de Vivendi, mais ce serait mettre tous ses œufs dans le même panier, estime Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».