« Le droit à l’oubli après un traitement du cancer, un engagement d’Emmanuel Macron qui reste à honorer »
Le vote d’un amendement par le Sénat, le 26 janvier, visant à généraliser le droit à l’oubli pour les malades de cancer cinq ans après la fin de leurs traitements, serait l’occasion pour le chef de l’Etat d’enfin tenir sa promesse de campagne, interpelle Céline Lis-Raoux, fondatrice de l’association RoseUp, dans une tribune au « Monde ».