« Le téléphone représente aujourd’hui moins de 7 % du chiffre d’affaires d’un groupe rebaptisé Orange »
La nouvelle patronne de l’opérateur français, Christel Heydemann, prend la tête d’une entreprise qui retrouvé sa stabilité, mais perdu beaucoup d’illusions. Et qui garde trois motifs d’optimisme : la télévision, le haut débit et la remontée des tarifs de la téléphonie mobile, estime Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».