Economie

Dark stores, dark kitchens… face aux « commerces fantômes », Lyon et Villeurbanne contre-attaquent

Après Paris, c’est la mairie de Lyon qui s’est récemment opposée à l’implantation d’un dark store et celle de Villeurbanne, qui a refusé l’ouverture de la seconde plus grande dark kitchen de France. Toutes deux défendent une certaine vision de la ville et du commerce comme d’autres villes, qui ont été en quelques mois plus nombreuses à s’opposer publiquement à la prolifération ces commerces « fantômes », aux conditions salariales contestées. Avec, comme principal appui juridique, des leviers administratifs liés à l’urbanisme, comme à Lyon et Villeurbanne, même si les villes espèrent une réglementation nationale.