La Corse s’embrase en pleine présidentielle, mais Paris préfère parler d’autre chose
POLITISCOPE. Le malaise est grand en Corse depuis l’agression d’Yvan Colonna, le 2 mars, par un détenu djihadiste à la maison d’arrêt d’Arles. Emmanuel Macron voit ainsi se ruiner toute sa stratégie de grand pacificateur de la question Corse dont l’étincelle Colonna a rallumé la mèche.