« La pandémie et la guerre en Ukraine montrent que le phénomène du complotisme et ses dangers risquent de se raviver à chaque occasion »
Le conspirationnisme se nourrit de facteurs communicationnels, psychologiques, sociopolitiques, économiques et sociaux. Sans leur prise en compte, il est impossible d’attaquer le mal à la racine soulignent dans une tribune au « Monde » des universitaires, parmi lesquels Gérald Bronner.