Santé, retraite, chômage, dette : la fin d’un malentendu
CHRONIQUE. Un monde meilleur n’a peut-être pas de prix, mais il a un coût. Une évidence que l’usage de la dette sans complexe a pu nous faire oublier, mais que la remontée des taux d’intérêt vient rappeler aux autorités. Et qui tombe bien mal. Par Karl Eychenne, chercheur chez Oblomov & Bartleby