« Prétendre analyser le rapport au travail au prisme de l’âge ou des générations est très discutable »
Si les « jeunes » réaffirment comme leurs aînés l’importance de la qualité de vie ou de l’autonomie au travail, c’est aussi parce qu’ils subissent le poids du chômage et de la précarité, rappelle le sociologue Dominique Glaymann dans une tribune au « Monde ».