Les résultats du #JSUL
Merci pour vos contributions
Le plus arachnophobe
On n’est pas bien, là ?
Le plus artistique
Kevin de Bruyne, qui a le visage beaucoup plus rouge que d’habitude, rate sa passe car l’incontournable Sakai était attentif.
#JSUL #JeSuisUneLégende
Balancez vos meilleures légendes sur cette photo
AFP
LA PAUSE MUSICALE. Pour un match serré et légèrement décevant, on a besoin de rap, et de rap élégant.
La semi-boulette de Courtois.
Gardien : Robotech
Dragon Ball – One Piece – Naruto en défenseurs centraux
Death Note – Ping Pong – Slam Dunk – Space Cowboy en milieu en losange
Saint Seiya et Les Samouraïs de l’éternel sur les ailes
Ranma 1/2 en pointe
Avec cette équipe, on craint dégun-kun.
Les Belges sont extrêmement euh… présents autour de la surface japonaise. Mais il ne se retrouvent jamais en position d’être vraiment dangereux, toujours une jambe japonaise dans le coin.
Nous ne pouvons vous répondre, on suit les matchs à la radio.
Votre question a suscité un débat fratricide (enfin, liveurocide). Luc, le Brésilien de l’étape, estime que non, c’est le Brésil ; Clément qu’il s’agit de l’Uruguay ; et Corentin, dans un souci manifeste de contradiction, la France. On peut toutefois s’accorder à dire que l’Argentine a été la plus belle passoire.
On était trois hier soir à s’ennuyer avec vous devant Croatie – Danemark. mais on est bien d’accord, certains sont rentrés de week-end (les vrais savent).
Un contrôle raté de Mertens et c’est une occasion belge qui s’évapore (oui, on aime bien cette image). Dommage, Hazard avait superbement construit le jeu. Un peu plus tard, c’est Witsel qui conclut une autre phase offensive par un tir trop puissant, trop haut, trop brouillon.
On a répondu (par le truchement d’Axel Witsel) un peu précédemment.
On vous fait une contre-proposition :
Nous allons laisser Axel Witsel vous répondre (en français).
« A l’entraînement tout le monde comprend l’anglais donc la plupart du temps, c’est cette langue qui est utilisée. Il n’y a pas de langue mise plus en avant. On est la Belgique, on est ensemble et c’est le plus important ».
POINT STAT. Un bon 61 % de possession pour les Belges, qui font courir les Japonais et les empêchent de construire quoi que ce soit si jamais ils perdent la balle.
D’un jour de grande faim et de peu de pitance.
Gros temps belge. Depuis 5-10 minutes, les Japonais courent après le ballon.
Mertens centre devant le but. Heureusement que Yoshida est là pour dévier en corner. Lukaku était à l’affût. Sur le coup de pied consécutif, Kompany passe tout près d’ouvrir la marque.
Gros pressing des Belges qui combinent bien dans le camp japonais, sans trouver l’ouverture pour le moment. Lukaku est particulièrement efficace et propre dans un rôle de relayeur, devant. Sur les côtés, Carrasco et Meunier se montrent très disponibles pour les milieux.
Le tsunami offensif belge ne s’attendait manifestement pas à une telle pression défensive. Nouveau dégagement en touche des Blue Samourai, et interlude musical gratuit.
Elle fait comme Neymar, elle roule-boule sur la pelouse.
Carrasco aurait pu tomber dans la surface s’il avait été un peu plus comme Neymar, et l’arbitre aurait très probablement sifflé penalty. Mais il ne l’est pas et ne l’a pas fait, et l’action s’est vite évaporée.
Alors que nous jouons la 14e minute, aucune équipe ne prend d’ascendant clair pour l’instant, même si le bloc belge semble mieux en place et plus efficace dans sa construction.
C’est fou, ce post était sérieux.
Ca commence à faire tourner le ballon, côté japonais. On n’est pas loin de sortir le GIF « Boring ».
Un tir non cadré du latéral gauche Shoji, et c’est toujours le Japon qui se montre le plus dangereux. Même l’attaquant Osako gagne ses duels aériens contre Kompany.
Tout ce qu’on ne veut pas voir ce soir.
Pour l’instant c’est les Japonais qui se montrent le plus dangereux, avec la tactique classique « on reste derrière à défendre et on part en contre quand il ne reste que deux défenseurs derrière ».
Si la suite de la partie reste inversement proportionnelle au huitième d’hier, on prend quand même. Parce que bon, attendre les quinze dernières minutes pour vibrer à nouveau, c’est beau, mais c’est long.
Après 5 minutes de jeu, le latéral droit de l’OM est clairement l’homme du match. Par contre, le jeu de mot n’est pas accepté. Désolé.
Il y a un peu de ça, en effet. Et comme il est en short, on n’est pas loin du De Gaulle à la plage de Ferri (en BD)
Pendant ce temps-là, chez les champions du monde en titre, on est sur de la mea culpa profonde (au point de répondre aux gens sur Twitter) après l’élimination en phase de groupe.
Avant l’heure de jeu, après le deuxième but japonais.
La faute à ce satané Januzaj, incapable de ne pas faire un geste de classe.
Voici ce que nous dit l’AFP :
Edinson Cavani souffre d’une « lésion oedémateuse » au mollet gauche, « sans déchirure de fibres musculaires », selon un communiqué de la fédération uruguayenne (AUF) lundi soir qui ne précise pas si le Parisien, blessé en huitièmes de finale, sera rétabli pour affronter la France vendredi en quarts de finale.
« Une étude d’imagerie a été réalisée chez le joueur Edinson Cavani, confirmant la lésion oedémateuse sur le muscle interne du mollet de sa jambe gauche, sans déchirure de fibres musculaires », a indiqué la fédération uruguayenne, précisant que le joueur avait « toujours mal » et qu’il allait « effectuer un travail différencié et une réadaptation physiologique ».
On a des beaux restes, on les utilise.
C’est du très haut niveau individuellement, pas toujours collectivement. Ils sont invaincus jusqu’ici, ont battu les Anglais, et ont un des meilleurs joueurs du monde.
Les pronos de Blanqui
Luc Vinogradoff : Belgique 1-2 Japon
William Audureau : Belgique 2-1 Japon
Corentin Lesueur : Belgique 2-0 Japon
Le chat noir : Belgique 0-1 Japon
Le point composition, aucune surprise d’un côté comme de l’autre.
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