Argentine : à la rencontre des pro et anti-avortement, à la veille du vote sur une légalisation

Analia, 36 ans, étudiante. « Durant de nombreuses années, la maternité a été imposée, installant l’idée qu’avoir un enfant était la solution à tous nos problèmes, sans prendre en compte d’autres paramètres comme la présence du père, le désir, si c’était le fruit d’un viol, si la santé de la femme est en danger… Ce qui est sûr, c’est que nous avortons, mais celle qui a de l’argent s’en sort, alors que celle qui n’en a pas le fera dans des conditions terribles. »


Continuer à lire sur le site d’origine