Mort d’Elizabeth II : l’Angleterre orpheline
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ÉDITO. La mort d’Elizabeth ouvre une période d’incertitude non seulement pour l’institution monarchique, mais aussi pour la cohésion du royaume lui-même.
Par Luc De Barochez
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L’Angleterre a perdu, avec la reine Elizabeth II, l’atout maître de son influence dans le monde. Immensément populaire, la souveraine était devenue en 70 ans de règne la quintessence du soft power britannique, tout autant qu’une ancre de stabilité. Son décès ouvre une période d’incertitude à moyen terme non seulement pour l’institution monarchique elle-même, dont on ne sait si elle survivra encore longtemps à sa disparition, mais surtout sur la cohésion du royaume qu’elle laisse derrière elle, formé de l’Angleterre, de l’Écosse, du pays de Galles et de l’Irlande du Nord.
Quand elle accéda au trône, le Royaume-Uni, vainqueur de la Seconde Guerre mondiale, pouvait encore avoir l’illusion d’être le plus grand empire que le monde ait jamais connu, celui sur lequel le soleil jamais ne se couc…
La vie belle
Comment apprendre (ou réapprendre) à voir la vie en rose ? Comment retrouver le plaisir de jouir de l’instant ? Comment ne pas se l’interdire ? Souvent, nous nous interdisons de vivre aujourd’hui pour mieux espérer un hypothétique demain… D’où l’intérêt de lire les auteurs présentés dans ce hors-série.
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