Porté par le poète et chanteur égyptien Abdullah Miniawy, le saxophoniste britannique Peter Corser et le violoncelliste allemand Karsten Hochapfel, le Cri du Caire s’installe entre poésie séculaire, soufisme, minimalisme, spoken word et jazz… Avec l’improvisation pour mot d’ordre et les mots comme fil rouge, le projet retrace la révolte du peuple égyptien, et s’installe dans une zone de libres échanges à fleur de peau.
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