La cour d’appel de Reims a condamné jeudi à deux ans de prison ferme les deux anciens dirigeants américains de Thomé-Génot, sous-traitant automobile à Nouzonville (Ardennes), dont les malversations ont conduit en 2006 à la fin de ce fleuron industriel et 316 salariés au chômage.
Cette décision est plus clémente que celle rendue par le tribunal correctionnel de Reims en novembre 2017 et que les réquisitions du parquet général lors de l’audience en appel, le 19 juin.
Quatre ans de prison avaient alors été retenus contre Catherine Felch et Greg Willis, qui n’ont jamais répondu aux convocations de la justice française et sont sous le coup d’un mandat d’arrêt international.
Cette décision est plus clémente que celle rendue par le tribunal correctionnel de Reims en novembre 2017 et que les réquisitions du parquet général lors de l’audience en appel, le 19 juin.
Quatre ans de prison avaient alors été retenus contre Catherine Felch et Greg Willis, qui n’ont jamais répondu aux convocations de la justice française et sont sous le coup d’un mandat d’arrêt international.