Le futur président du Brésil va subir, dès sa prise de fonction, une forte pression des marchés pour poursuivre une politique d’austérité, tout en relançant une économie grippée dans un pays qui compte 23 millions de pauvres.
« Pour une politique d’ajustement (budgétaire) équitable et une croissance partagée » : ainsi s’intitule un rapport de la Banque mondiale, présenté aux 13 candidats à l’élection présidentielle, avec une liste de préconisations qui semblent autant de voeux pieux devant l’ampleur de la crise économique, politique et sociale qui secoue le pays.
Selon le rapport, la première puissance économique d’Amérique latine est confrontée à « trois défis principaux » : « un important déséquilibre budgétair », « un manque de croissance durable de sa productivité » et « une difficulté toujours plus grande de l’Etat à fournir des services de base ».
« Pour une politique d’ajustement (budgétaire) équitable et une croissance partagée » : ainsi s’intitule un rapport de la Banque mondiale, présenté aux 13 candidats à l’élection présidentielle, avec une liste de préconisations qui semblent autant de voeux pieux devant l’ampleur de la crise économique, politique et sociale qui secoue le pays.
Selon le rapport, la première puissance économique d’Amérique latine est confrontée à « trois défis principaux » : « un important déséquilibre budgétair », « un manque de croissance durable de sa productivité » et « une difficulté toujours plus grande de l’Etat à fournir des services de base ».