La spectaculaire déchéance de Carlos Ghosn, patron de l’alliance Renault-Nissan, pourrait en fait cacher un « coup d’Etat » du groupe japonais à l’encontre de son sauveur afin d’éviter une alliance encore plus poussée avec le constructeur français, estiment certains analystes du secteur.
Ces derniers mois, le ressentiment perlait dans la presse japonaise, surtout depuis qu’avaient surgi au printemps des rumeurs de fusion du duo original né en 1999, un scénario qui ne plaît pas vraiment au Japon.
Lundi, ces frictions sont apparues au grand jour quand le patron de Nissan, Hiroto Saikawa, a mis en pièces l’héritage de M.
Ces derniers mois, le ressentiment perlait dans la presse japonaise, surtout depuis qu’avaient surgi au printemps des rumeurs de fusion du duo original né en 1999, un scénario qui ne plaît pas vraiment au Japon.
Lundi, ces frictions sont apparues au grand jour quand le patron de Nissan, Hiroto Saikawa, a mis en pièces l’héritage de M.