Avec sa gouaille, sa crinière blanche et son autocar, le patron de la chaîne britannique de pubs JD Wetherspoon, Tim Martin, a pris la route avec un objectif: persuader ses clients qu’ils n’ont rien à craindre d’un Brexit sans accord.
A l’image de la Première ministre Theresa May tentant d’unir son pays derrière le « traité de retrait » entériné par les dirigeants de l’UE, Tim Martin essaie lui aussi de convaincre ses concitoyens, mais de jeter aux oubliettes cet accord âprement négocié pendant 17 mois.
Un point de vue pas si fréquent chez les chefs d’entreprises britanniques, souvent plus enclins à soutenir un divorce sans vagues, de nature à éviter toute perturbation économique.
A l’image de la Première ministre Theresa May tentant d’unir son pays derrière le « traité de retrait » entériné par les dirigeants de l’UE, Tim Martin essaie lui aussi de convaincre ses concitoyens, mais de jeter aux oubliettes cet accord âprement négocié pendant 17 mois.
Un point de vue pas si fréquent chez les chefs d’entreprises britanniques, souvent plus enclins à soutenir un divorce sans vagues, de nature à éviter toute perturbation économique.