Le premier procès dans l’affaire du médicament Levothyrox, intenté collectivement au civil par plus de 4.000 plaignants qui attaquent le laboratoire Merck pour un « défaut d’information » sur son traitement de la thyroïde, a débuté lundi devant le tribunal d’instance de Lyon.
« C’est un dossier exceptionnel car il regroupe 4.113 personnes et c’est un dossier exceptionnel par les questions posées », a lancé au début de sa plaidoirie l’avocat des plaignants, Me Christophe Lèguevaques, du barreau de Toulouse.
Cette action collective, lancée le 24 octobre 2017, vise à faire reconnaître un « défaut d’information » de Merck, dont le siège français est à Lyon, et un « préjudice d’angoisse » des plaignants, qui réclament chacun une indemnité de 10.000 euros.
« C’est un dossier exceptionnel car il regroupe 4.113 personnes et c’est un dossier exceptionnel par les questions posées », a lancé au début de sa plaidoirie l’avocat des plaignants, Me Christophe Lèguevaques, du barreau de Toulouse.
Cette action collective, lancée le 24 octobre 2017, vise à faire reconnaître un « défaut d’information » de Merck, dont le siège français est à Lyon, et un « préjudice d’angoisse » des plaignants, qui réclament chacun une indemnité de 10.000 euros.