A l’approche des élections du 23 décembre, l’enjeu agricole s’impose dans la campagne électorale en République démocratique du Congo dont les sous-sols regorgent de richesses en minerais mais où les terres sont souvent laissées en jachère.
Quatre-vingt millions d’hectares de terres arables, dont 10% seulement seraient cultivées: la statistique se vérifie en tous cas à l’oeil nu quand l’avion se pose à Kinshasa, avec des terres limoneuses et souvent vierges le long des méandres du fleuve Congo.
« Nos terres sont parmi les plus fertiles du monde », déclarait à l’autre bout du pays le gouverneur du Tanganyika (sud-est) en recevant des journalistes en mars dernier.
Quatre-vingt millions d’hectares de terres arables, dont 10% seulement seraient cultivées: la statistique se vérifie en tous cas à l’oeil nu quand l’avion se pose à Kinshasa, avec des terres limoneuses et souvent vierges le long des méandres du fleuve Congo.
« Nos terres sont parmi les plus fertiles du monde », déclarait à l’autre bout du pays le gouverneur du Tanganyika (sud-est) en recevant des journalistes en mars dernier.