« Économiquement, ce n’est vraiment pas le bon moment pour avoir un chaos politique! »

Va-t-on se diriger vers un gouvernement en affaires courantes ? En tout cas, les perspectives économiques sont plus obscures aujourd’hui que lors de la crise des 541 jours que le pays a connue entre 2010 et 2011. « Bien que ce soit le jeu démocratique, c’est un moment qui n’est pas nécessairement le plus confortable économiquement parlant pour se permettre une crise politique », explique Philippe Ledent, économiste chez ING Belgique. Interview.