Le constructeur automobile allemand Volkswagen introduit en Bourse, le 29 septembre, sa fameuse filiale de voitures de sport et vise une valorisation de 70 milliards d’euros, supérieure à celle de Mercedes. Une opération osée face à la déprime des marchés financiers. Mais qui s’explique par son statut, explique Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».