Déjà menacée à son poste après un mois au pouvoir, la Première ministre britannique Liz Truss a été contrainte à une nouvelle volte-face vendredi sur son programme économique et a changé de ministre des Finances, dans une tentative pour rassurer les marchés et les rangs conservateurs.
« Il est clair que certaines parties de notre mini-budget allaient trop loin et trop vite par rapport à ce que les marchés attendaient », a reconnu Mme Truss lors d’une brève conférence de presse en début d’après-midi, avant d’annoncer qu’elle se résolvait à augmenter l’impôt sur les sociétés comme l’avait prévu le précédent gouvernement conservateur. Elle souhaitait jusqu’ici le baisser de 25 à 19%.
« Il est clair que certaines parties de notre mini-budget allaient trop loin et trop vite par rapport à ce que les marchés attendaient », a reconnu Mme Truss lors d’une brève conférence de presse en début d’après-midi, avant d’annoncer qu’elle se résolvait à augmenter l’impôt sur les sociétés comme l’avait prévu le précédent gouvernement conservateur. Elle souhaitait jusqu’ici le baisser de 25 à 19%.