Par milliers, des « creuseurs » continuent d’extirper à coups de pioches de la mine de cobalt à ciel ouvert de Shabara, dans le sud-est de la RD Congo, de quoi vivre et nourrir leurs familles, alors qu’officiellement ils n’ont plus le droit d’être là depuis des années.
« On lutte pour qu’ils nous laissent en paix », déclare pendant la pause un de ces mineurs artisanaux, Marcel Kabamba, qui dit gagner par son travail jusqu’à 200 dollars par semaine – une bonne somme, dans un pays dont les trois quarts des habitants vivent avec moins de deux dollars par jour.
Près de lui, des porteurs transportent péniblement à dos d’homme des sacs de minerai bleu-vert, dont l’utilisation dans les batteries de téléphones portables et de véhicules électriques en fait un produit d’avenir et de transition énergétique.
« On lutte pour qu’ils nous laissent en paix », déclare pendant la pause un de ces mineurs artisanaux, Marcel Kabamba, qui dit gagner par son travail jusqu’à 200 dollars par semaine – une bonne somme, dans un pays dont les trois quarts des habitants vivent avec moins de deux dollars par jour.
Près de lui, des porteurs transportent péniblement à dos d’homme des sacs de minerai bleu-vert, dont l’utilisation dans les batteries de téléphones portables et de véhicules électriques en fait un produit d’avenir et de transition énergétique.