L’historienne Anne de Tinguy, professeure des universités émérite à l’Inalco et chercheuse au Centre de recherches internationales de Sciences Po, explique en quoi, aux yeux du Kremlin, la puissance reste associée à la coercition.
L’historienne Anne de Tinguy, professeure des universités émérite à l’Inalco et chercheuse au Centre de recherches internationales de Sciences Po, explique en quoi, aux yeux du Kremlin, la puissance reste associée à la coercition.