« Nous ne pouvons plus parler de décarbonation de l’économie sans évoquer la préservation du vivant. »
Il appartient aux entreprises de prendre en compte l’impact de l’immobilier sur le vivant et de s’engager durablement pour la préservation des sols et des paysages, estime, dans une tribune au « Monde », l’expert environnemental Loïs Moulas