Dans une tribune au « Monde », une cinquantaine d’acteurs de la société civile, fonctionnaires et élus des territoires où a exercé la préfète, s’insurgent contre la décision de l’évincer. Elle n’aurait voulu que faire primer le droit de l’urbanisme dans une affaire immobilière en Indre-et-Loire, gênant des élus locaux.