Economie

A Bagdad l’immobilier flambe, porté aussi par le blanchiment d’argent

Marié et père d’un enfant, Youssef Ahmed habite encore chez ses parents. A 29 ans, ce Bagdadi a abandonné tout espoir d’acheter un jour son propre logement, dans la capitale irakienne où les prix de l’immobilier ont flambé.
Entre planification inadéquate et spéculation alimentée par le blanchiment d’argent dans un des pays les plus corrompus au monde, devenir propriétaire est un rêve qui s’éloigne pour une grande partie de la classe moyenne.