Rien, absolument rien, ne justifie l’acharnement politique du président de la République à faire adopter, quoi qu’il en coûte au pays, sa réforme des retraites dont personne ne veut, ni la population, ni les syndicats, ni même les députés.
Rien, absolument rien, ne justifie l’acharnement politique du président de la République à faire adopter, quoi qu’il en coûte au pays, sa réforme des retraites dont personne ne veut, ni la population, ni les syndicats, ni même les députés.